Pour bien comprendre le phénomène "Pieds Nickelés", il faut savoir qu'au début du siècle la presse destinée aux jeunes était "bien pensante". C'était l'époque des Bécassine, Lizette, et images d'Epinal... Il y avait toujours une morale dans les histoires, et on ne rencontrait que des héros sans peur et sans reproche.

Et c'est alors que débarque une bande de trois ivrognes dont un est tout juste sorti de prison, dont le seul but dans la vie est de se la "couler douce" et qui s'expriment en pur argot de l'époque ! Ainsi les Pieds Nickelés sont longtemps restés une lecture peu recommandable que les galopins (ou leurs parents ?) lisaient en cachette. Cela n'a pas empêché la série de connaître un immense succès en France. Avec les Pieds Nickelés, la bande dessinée se débarrassait des clichés.

C'est mon père qui m'a fait connaitre les Pieds Nickelés sa deuxième lecture après France-Soir ! J'ai une belle collection que je relis de temps en temps. 

Bonne nuit les petits était une série télévisée française en noir et blanc, créée par Claude Laydu et diffusée à partir du 12 décembre 1962 sur RTF télévision puis sur la première chaîne de l'ORTF entre 1962 et 1973 .

Sur son nuage le marchand de sable venait tous les soirs, accompagné de Nounours, rendre visite à Nicolas et Pimprenelle !

Ce "Kodak instamatic 50" format 126 a été fabriqué en Grande-Bretagne (aux USA et en Australie) de 1963 à 1966.

Il s'agit d'une version assez basique, sans possibilité de réglages de la distance de mise au point. Deux vitesses possibles : 1/40 et 1/90 sec, définies par l'utilisation du bouton de la face avant qui permet d'indiquer si le temps est ensoleillé ou couvert (Pictogrammes Soleil plein ou Soleil voilé et flash). L'objectif est un 11/43 mm.

Une griffe spécifique sur le capot supérieur permet de connecter un flash.

Cet appareil coûtait 49,50 francs en 1966.

Mon premier appareil photo !

Les patins à roulettes sont des appareils portés aux pieds qui permettent de se déplacer en appuyant le poids de son corps sur des roulettes.

J'avais des patins à roulettes comme ceux de la photo, que l'on pouvait agrandir en même temps que son pied !

Les porte-clefs servant de support publicitaire, leur collection devint une tocade des années 60 et 70. Avec la popularisation des matières plastiques, ils se sont multipliés au service des marques. Un nom fut forgé pour cet engouement : la copocléphilie.

J'avais une assez belle collection de porte-clés qu'aujourd'hui je ne possède plus malheureusement !

La Simca 1000 est plutôt à l'aise en ville avec une direction d'une (trop) grande légèreté et un moteur souple. Malgré son gabarit, qui la rend très agile dans la circulation urbaine, de nombreuses familles l'utiliseront sur de grands trajets ! On verra aussi beaucoup la petite Simca dans sa version Auto-école grâce à sa robustesse générale (elle ne sera remplacée que par la Renault 5 au début des années soixante-dix).

Ma première voiture, achetée d'occasion en 1978 !

Le Petit Train Rébus servait d’interlude à l’heure où la publicité télévisuelle n’existait pas encore. Il était destiné à combler l’attente entre 2 programmes ou lors des pannes techniques.Il proposait aux téléspectateurs de reconstituer une phrase à l’aide d’un rébus dessiné sur ses wagons.

C'était beaucoup plus instructif et distrayant que la pub d'aujourd'hui !

Granville est une commune française du département de la Manche et de la région Basse-Normandie. C'est une station balnéaire de la baie du mont Saint-Michel à l’extrémité de la côte des havres, un ancien port morutier et le premier port coquillier de France. Elle est parfois surnommée la « Monaco du Nord » du fait de sa situation sur un promontoire rocheux.

C'est dans cette ville et ses alentours que j'ai passé mes vacances d'été durant toute mon enfance et mon adolescence. J'y retourne quelquefois faire le plein de nostalgie !

Ma première "vraie" guitare, une Eko 12 cordes achetée en 1968 dans une boutique à Montparnasse ! J'étais fan de Polnareff qui jouait très souvent sur une 12 cordes.

Ma première guitare électrique achetée à Paris en 1972 !

Petit meuble ancien qui était destiné à ranger principalement les ustensiles de couture.

Ma mère était couturière à domicile et avait une travailleuse comme celle-ci pour y ranger tous ses objets de travail.

Un magnétophone à bande est un appareil permettant d'enregistrer des sons sur une bande magnétique. Au départ sur des bobines de différents diamètres, puis plus tard sur des cassettes.

J'avais acheté en 1975 un magnétophone identique à celui de la photo. C'est avec lui que j'ai enregistré mes premières chansons avant de passer au magnétophone à cassette !

Apparu à la fin des années 60, cet objet était à la fois tendance et graphique.

J'en ai porté à une certaine époque ils permettaient de s'identifier et de se différencier des autres !

Au cours des années 1960-70, dans chaque boite de gâteaux "l'Alsacienne" se trouvait un drapeau en métal que l'on pouvait accrocher à un tableau muni de petites fentes où s'inséraient les deux extrémités de la base que l'on repliaient ensuite par derrière !

Ma collection était assez conséquente et c'est de cette manière que j'ai appris à reconnaitre les drapeaux du monde entier !

Pschitt est une boisson gazeuse aromatisée à l'orange ou au citron produite à l'origine par le groupe Perrier Vittel SA. Ce nouveau produit lancé en 1955 avait pour slogan « Pour vous, mon cher ange, Pschitt orange, et pour moi, garçon, Pschitt citron ».

J'en ai consommé peu, pourtant c'était très bon !

Dinky Toys est une marque de jouets créée en 1934 au Royaume-Uni. Les jouets sont alors fabriqués au Royaume-Uni et en France par Meccano Ltd. qui a produit des autos miniatures d'abord en plomb puis en zamac, mais aussi quelques trains, des avions, des bateaux et diverses figurines et accessoires routiers. La marque connut un très grand succès au cours des années 1950 à 1970. Elle a été rachetée depuis par d'autres marques de jouets.

Comme tous les enfants de l'époque j'avais une boite remplie de voitures miniatures dont certaines étaient des Dinky Toys.

Le Scoubidou est une tocade du début des années 1960, qui a ressurgi dans les années 1980. À l'aide de tuyaux en plastique souple de section millimétrique, on tresse d'interminables boudins colorés - carrés ou polygonaux, droits ou torsadés - qui peuvent être utilisés en porte-clefs kitsch. Il existe aussi des fils plats et le scoubidou peut aussi se tisser avec du Ra-Tail ou des lacets de cuir. Il est aussi possible de faire d'autres scoubidous plus complexes (triangulés, en croix...) voire des personnages, objets ou animaux selon l'imagination du créateur.

Mon frère aîné était beaucoup plus doué que moi pour faire de beaux Scoubidous !

Zippo est une marque américaine de briquets, créée en 1932 par George G. Blaisdell, à Bradford, en Pennsylvanie.

Très à la mode dans les années 70 j'en ai possédé plusieurs modèles !

La mire est une image permettant d'étalonner l'affichage d'un téléviseur avec des valeurs standardisées. Elle a fait son apparition en France à partir de 1953. Bien connue sous le nom évocateur de la « mire au cheval de Marly » elle représentait en son milieu cette image, bordée de diverses formes quadrillées et circulaires.

Cette mire de la RTF était présente sur les écrans de télévision pendant les périodes où aucun programme n'était diffusés.

Aujourd'hui les différentes chaines de télévision émettent en continu et le réglage des écrans est automatique d'où l'inutilité d'une mire comme celle-ci !